Science

Nicole Dron, 45 secondes d’éternité

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45 secondes d’éternité : mes souvenirs de l’au-delà par Nicole Dron, éd. Kymzo

Je dis que le tombeau qui sur les morts se ferme
Ouvre le firmament,
Et que ce qu’ici-bas nous prenons pour le terme
Est le commencement

Victor Hugo


EntretienEn 1968, alors qu’elle subit une intervention chirurgicale, le cœur de Nicole Dron s’arrête. Pendant ces 45 secondes d’éternité, titre de son ouvrage éponyme, les médecins la croient perdue. Et pourtant ! Ce que le corps médical ignore, c’est que durant ce laps de temps, Nicole Dron est confrontée à l’expérience la plus forte, la plus intense de son existence, si bouleversante qu’elle mettra dix ans à en parler à ses proches. « L’âme » de la jeune mère de famille quitte en effet son enveloppe charnelle pour être guidée vers le grand tunnel de lumière tant de fois évoqué par les personnes ayant vécu une EMI [expérience de mort imminente, aussi nommée NDE, ndlr]. Amour avec un grand A, perception de l’univers, vision du monde d’hier et de demain, rencontre avec son frère disparu… Pour Nicole, notre passage terrestre n’est qu’une étape nécessaire avant de rejoindre une dimension bien plus spirituelle. Pour Agents d’entretiens, Nicole Dron revient sur ce moment d’éternité qui guide encore sa vie plus de quarante ans après.


« Je sais qu’au bout du chemin, on se reverra ! »

Étiez-vous croyante lorsque vous avez vécu votre NDE ?

J’ai été élevée au sein d’un environnement familial qui baignait dans la religion catholique. Mes parents désiraient que nous ayons des valeurs religieuses mais, pendant mon enfance, je n’avais que la foi du charbonnier. Pourtant, le côté métaphysique de la vie m’attirait déjà. La perte d’un petit frère, alors que j’étais âgée de 11 ans a approfondi douloureusement ma quête et la réponse à des questions telles que : Est-ce qu’il vit toujours ? Où est-il ? Pourquoi y a t’il tant de souffrance dans le monde ? À quoi cela sert- il de vivre si l’on doit mourir un jour ? Tout cela s’est avéré primordial. J’avais un grand besoin de connaissances, besoin qui est resté inassouvi jusqu’à cette expérience qui a fait basculer ma foi primaire en une merveilleuse certitude. Désormais, je ne crois plus, je sais…

La religion est-elle selon vous dans le vrai lorsqu’elle évoque la vie éternelle après la mort ?

C’est évident ! J’ai pu constater, après mon dernier battement de cœur, que je continuais à vivre. Pour moi, il n’y a pas de mort, la vie se poursuit dans une autre dimension et peut-être même sur terre. Par contre, j’ai pu me rendre compte qu’on ne se relevait pas d’entre les morts le jour du jugement dernier, de la résurrection finale, comme il me l’avait été enseigné au catéchisme. Non, c’est tout de suite après l’arrêt de mon cœur que je me suis sentie plus vivante que jamais.

À titre personnel, que pensez-vous qu’il y ait après la mort ?

Si je me réfère à mon expérience, tout de suite après cet arrêt cardiaque, alors que j’étais « allongée sans vie » sur la table d’opération, j’ai entendu le chirurgien dire : « Elle me pète entre les mains » (ce qui m’a été confirmé un mois après par une infirmière ayant assisté à mon opération.) Pendant ce temps, ce qui est moi, mon essence, mon être profond, disons mon être spirituel était à la hauteur du plafond, parfaitement vivant et conscient. Je me rappelle avoir éprouvé un sentiment incroyable : Celui de vivre en dehors de mon corps. J’étais l’habitante de mon corps ! Ce corps spirituel avait d’autres facultés que celles détenues par mon corps physique. J’avais la capacité de voir de tous les côtés à la fois, d’entendre, mais surtout de percevoir les pensées des gens, de traverser la matière… Ensuite, je me suis trouvée dans un abîme de ténèbres, de silence et propulsée à toute vitesse à travers un tunnel vers une lumière merveilleuse, tellement vivante… L’entrée dans cette lumière a été le plus beau moment de ma vie. J’y ai revu mon frère et cela a été une rencontre inoubliable. Un être que je n’oublierai jamais m’a posé ces deux questions si simples mais si exigeantes à la fois : « Comment as-tu aimé et qu’as-tu fait pour les autres ? » En sa présence, toute ma vie s’est déroulée, avec ses beautés bien sûr, mais aussi ses faiblesses et ses manques. Toute ma vie était évaluée par rapport à ce qu’elle aurait dû être si j’avais toujours agi avec amour et sagesse. Ce n’était pas un jugement impitoyable, mais une prise de conscience de ce qui m’éloignait de l’amour. Des révélations sur la nature de « Dieu » (on me disait qu’Il était la Force, le Mouvement et la Vie), sur le passé et le futur de l’humanité m’ont été accordées. Je me rappelle avoir visité plusieurs « plans », mais il m’est très difficile de trouver les mots pour décrire tout ceci. Bref, en ce qui me concerne et d’après cette expérience, je peux dire que ce qu’il y a après la mort, c’est la vie, la connaissance et l’amour.

Avez-vous expliqué immédiatement aux médecins et à votre entourage ce que vous aviez vécu lors de votre NDE ?

À mon réveil, j’ai eu à gérer une souffrance physique très grande. Dès que cela a été possible, j’ai, bien évidemment, désiré partager mon expérience avec les médecins, mais j’étais consciente que ceux-ci ne me croiraient pas, puisque je n’avais aucune preuve concrète à leur apporter. À défaut de compréhension, j’ai toujours senti que je devais protéger cette expérience qui, pour moi, est sacrée. Je prenais conscience qu’elle était incroyable et remettait en question bien des idées reçues. J’ai mis dix ans avant d’en parler autour de moi, même à mon mari et à ma famille et cela a été la cause d’une grande souffrance. À cette époque, je ne connaissais personne ayant vécu ce genre d’expérience et je ne voulais pas que le scepticisme qui régnait alors envers ces phénomènes ne salisse ce que j’avais de plus précieux. Toutes les valeurs de ma vie ont été modifiées suite à cette expérience. Je me suis intéressée à des sujets nouveaux tels l’énergie, le temps, l’espace, la conscience, les grands cycles de l’humanité, l’anatomie spirituelle de l’homme et me suis mise à dévorer, plus ou moins secrètement, les ouvrages traitant de ces sujets. Je voulais absolument comprendre ce qui m’était arrivé. Plus tard, je me suis confiée à mon mari qui, sans être hostile pour cela, a été très dubitatif et m’a dit : « Tu ne crois pas que ce n’est qu’un rêve ? » Il a fallu que certains évènements qui m’ont été montrés au cours de cette expérience (tel le décès de 3 membres de notre famille dont 2 à trois semaines d’intervalle) s’actualisent dans notre vie pour que mon mari s’interroge. Nous avons été, hélas, formatés par notre milieu familial, social et religieux et je sais que mes propos risquent de bouleverser les connaissances établies. Faut-il pour autant garder le silence ? Non, je ne le crois pas ! En ce qui me concerne cela reviendrait à me renier… J’ai toujours su que cette expérience devait être offerte et partagée pour réconforter toutes les personnes ayant perdu un être cher et pour servir de matériau aux scientifiques ouverts et désireux de l’étudier. Je me réjouis actuellement de tout le chemin parcouru et remercie toutes les associations et les scientifiques ayant contribué à la reconnaissance de cette expérience. Il a fallu du temps, bien sûr, mais je me rappelle que mon frère m’avait dit, avant que je ne réintègre mon corps, de ne pas parler de cette expérience avant 17 ans (donc pas avant 1985) car elle risquait d’être considérée, par les milieux scientifiques, comme un traumatisme consécutif à un choc opératoire. Je connais une « expérienceur » qui a vécu une NDE en 1974. Elle m’a confié qu’on lui avait conseillé d’attendre 11 ans (donc également jusqu’en 1985) avant d’en parler. Peut-être que « l’Au-Delà » savait que tout ce temps était nécessaire à une évolution des consciences….

Vous parlez d’une sensation d’amour lors de votre NDE. Vous pouvez nous donner des précisions ?

C’est plus que ça ! Cela n’a rien à voir avec cet amour que l’on vit sur Terre. Même l’amour maternel qui, à mon sens, est l’amour le plus altruiste que puisse éprouver un être humain, est plus ou moins entaché de possessivité, d’égoïsme et de jalousie. Mais quand on entre dans la lumière, on est immergé dans un océan d’Amour pur, un amour qui s’offre et qui ne demande rien, un amour qui vous comble et vous restaure. J’appelle cela un Amour Soleil. J’ai, non seulement ressenti de l’amour, mais, par une espèce d’osmose, je suis devenue cet Amour. J’étais l’Amour et la Vie et cela, je ne pourrai jamais plus l’oublier. Cette fusion constitue le cœur de mon expérience. Je sais désormais que l’Amour est le secret de la vie.

Comment appréhendez-vous la mort aujourd’hui ?

Il y a la mort en général : Celle de mon entourage. Elle m’affecte toujours autant. Je suis humaine moi aussi et la présence de ceux que j’aime me manque beaucoup. Mais, d’un autre côté, je n’ai plus la désespérance de toutes ces personnes qui se disent : « Plus jamais, on ne se verra plus jamais. » Je sais qu’au bout du chemin, on se retrouvera ! Et cela change tout ! Concernant ma propre mort, je la vois comme une amie. J’appréhende bien sûr les circonstances qui précéderont mon départ : La souffrance, la dépendance, la sénilité. Je ne voudrais pas devenir un légume pour moi e mes enfants. Mais je sais que la vie continue…Par contre, depuis cette expérience, donc depuis mes 28 ans, ma vie a été motivée par le désir profond de vivre vrai, de cette vérité qui est bien au-delà des lois sociales et religieuses conventionnelles, mais qui s’apparente plus à l’éthique universelle. Je tiens néanmoins à préciser que, si je me réjouis de retrouver un jour la Lumière, jamais je ne précipiterai pour autant le moment de la rencontre car je sais que la vie est un don de Dieu pour évoluer et accomplir la mission que nous avons acceptée avant de naître.

Comment avez-vous abordé la vie après cette expérience ?

Il y a eu toutes ces années difficiles, toutes ces années de silence où je craignais d’en parler de peur d’être considérée comme une illuminée dans le mauvais sens du terme. Et puis, j’ai osé être moi-même et vivre vrai. Il y a eu toutes ces années d’intégration (et cela dure toujours) pour essayer de vivre au quotidien les valeurs perçues « de l’autre côté. » C’est une chose de voir la lumière, autre chose est de la réaliser en soi. Ce n’est pas facile, aussi, de maintenir l’équilibre et l’harmonie dans son couple et la stabilité chez ses enfants. Il nous a fallu à tous beaucoup d’amour et de patience et je ne remercierai jamais assez mon mari pour avoir accepté d’être dérangé. Je me demande quelle aurait été ma vie si je n’avais pas vécu cette expérience ? Certainement beaucoup plus superficielle. Il est vrai qu’elle a désormais un sens et un but : Celui d’évoluer vers la conscience et vers l’amour. Le fait d’avoir vu que notre vie terrestre n’était qu’une phase transitoire dans la progression de l’âme m’a beaucoup aidée à mieux accepter les injustices et les souffrances de l’humanité, tout en l’aidant le mieux possible. J’ai appris aussi à ne plus juger les faiblesses des autres car je sais que nous sommes tous en devenir. J’ai pris conscience également qu’il n’y a qu’une seule religion, celle de l’Amour, celle qui est au cœur de chaque être humain. Et puis surtout, cette expérience m’a permis de n’attacher qu’une importance toute relative aux possessions matérielles. Je sais désormais que le but de ma vie n’est pas uniquement d’acquérir avoir, savoir et pouvoir. Ce n’est pas « l’avoir » qui est primordial dans la vie, mais « l’être », c’est-à-dire réaliser en soi cet état de plénitude vécu pendant l’expérience. Je sais que quand nous quitterons ce monde, nous laisserons tout. C’est notre être intérieur qui sera riche ou pauvre suivant les choix que nous aurons fait.

Vous dîtes que votre « âme » a quitté votre corps. Vous avez pu alors traverser les murs pour rejoindre votre mari qui se situait dans une salle d’attente. Pouvez-vous en quelques mots nous retranscrire ces sensations ?

J’ai pu constater que notre enveloppe charnelle sur la Terre n’était que la partie la plus matérielle de notre être réel. Lorsque j’étais sur la table d’opération, je me suis élevée dans un corps plus subtil, capable de traverser la matière. Alors que je voyais mon corps cadavérique sur la table d’opération, j’ai pensé à mon mari qui m’avait dit m’attendre dans la salle d’attente de l’hôpital et, instantanément, je me suis retrouvée près de lui. Je n’ai pas eu le temps de penser à ce qui m’arrivait. J’ai seulement pris conscience de traverser les murs, sans me heurter à eux, comme s’ils étaient faits de brume et je me suis retrouvée dans la salle d’attente que je ne connaissais pas, Dans cette salle d’attente, il n’y avait ni banc, ni chaise, ce que mon mari m’a confirmé plus tard. J’ai essayé de me manifester à lui, en vain. J’éprouvais comme une sorte de désespérance de ne pouvoir communiquer avec lui mais je savais tout ce qu’il pensait.

Quelle est selon vous cette lumière, qu’évoquent certaines personnes ayant vécu une NDE, et que vous avez vue distinctement ?

Au départ, j’ai évolué, peut-être pendant quelques fractions de secondes, dans un abîme de ténèbres, de silence. Là, je n’ai pu m’empêcher de penser : « Ça y est, ma fille tu es morte ! », mais mes pensées étaient plus lucides et pénétrantes que jamais et je vivais ! Au loin, j’ai vu une lumière. Plus je m’approchais d’elle, plus elle grandissait et plus une joie inouïe me pénétrait. Et je suis entrée dans cette Lumière… Et là, il n’y a plus de mots ! Comment parler de la lumière, il faut la vivre ! C’est une substance splendide, vivante, irradiante, d’une pureté incroyable. C’est aussi une paix infinie. En elle, je n’avais plus conscience du temps et de l’espace mais d’Etre. Je prenais conscience que j’étais éternelle, que j’avais toujours vécu et que je vivrai toujours et qu’il n’y avait que la Vie… C’est un moment indescriptible et le seul fait de penser au mot Lumière, même après 43 ans, m’émeut toujours au plus haut point, parfois jusqu’à en pleurer, tant son souvenir est resté intense. Aucun mot ou concept humain ne peut décrire et expliquer cette Lumière. C’est une substance d’amour que certains pourraient appeler Dieu ou l’émanation de Dieu ou l’Energie du monde. Qu’importe les mots ! Je ne cherche pas à l’analyser. Pour moi, elle est la Lumière et tout est dit.

Votre ouvrage retraçant votre expérience se nomme 45 secondes d’éternité. Le temps s’arrête donc après la mort ?

Bien sûr, du moins le temps tel qu’on le conçoit sur terre ! Je suis persuadée que ce sont les physiciens ouverts qui sont le plus près d’une telle réalité. On m’a dit que mon cœur s’était arrêté pendant 45 secondes (avec électrocardiogramme plat), mais je ne peux dire si l’expérience en elle-même a duré 45 secondes ou s’est prolongée jusqu‘à mon réveil. J’étais dans un autre temps, un autre espace. Plus exactement, il n’y avait plus de temps ni d’espace. Tout était là dans un instant qui dure. Imaginons une rivière de quinze kilomètres de long qui se jetterait dans la mer. Il faudrait un certain temps, à un être humain qui marcherait sur ses berges, pour aller de sa source à son embouchure. Pourtant, un avion, qui volerait à haute altitude, verrait à la fois la source, la rivière, l’embouchure et la mer. Il verrait la réalité telle qu’elle est car tout est là, elle n’est pas fragmentée. Pendant cette expérience, j’étais un peu l’avion. Je suis entrée dans l’éternité car tout était là et je percevais tout à la fois. L’éternité peut aussi se comprendre comme un état de plénitude, d’allégresse, c’est l’état de notre être profond. Il m’est quelquefois demandé : « Mais si vous n’aviez pas eu de billet de retour, si vous étiez morte, que vous serait-il arrivé, où vous trouveriez-vous ? » Je pense que je me trouverais dans la demeure (ou l’état vibratoire) qui correspond à ce que je suis vraiment, à mon état d’évolution. Tant il est vrai qu’on ne peut rester dans la lumière qu’en étant devenue soi-même lumière.

Comment votre « âme » a-t-elle regagné votre corps ?

Si je ne me rappelle pas comment je suis « sortie de mon corps », je me souviens parfaitement comment je l’ai réintégré : En passant par ma tête (la fontanelle pour être précise) et je m’y suis glissée, comme dans une chaussette. Quelque part, ce fut un drame : Fini la plénitude, la liberté, le fait de me sentir un et tout à la fois. À mon réveil, j’avais dans les oreilles une musique sublime, d’une grande amplitude, qui me faisait fondre d’amour. J’ai essayé plus tard de la retrouver en écoutant de la musique sacrée et classique. En vain ! La musique s’est éloignée, mais à l’arrière plan, il y avait un accomplissement, une paix infinie et une connaissance que j’aurais toujours voulu garder en moi, toujours. Mais la douleur s’est réveillée et toute la profondeur de l’expérience s’est estompée. Je n’en ai ramené qu’une infime partie, que des miettes. Pourtant, ces miettes m’ont donné le désir irrésistible de la retrouver et de la comprendre et sont à l’origine d’une quête qui, je le pense, durera toute ma vie.

Vous comprenez que certaines personnes soient néanmoins sceptiques concernant vos dires ?

Je le comprends parfaitement car, si je n’avais pas vécu cette expérience, j’aurais certainement eu du mal à l’accepter. Il est normal et sain que le domaine scientifique s’interroge et se penche sur ces phénomènes avec prudence et rigueur. C’est le propre de la science. Mais un parti pris évident me dérange, il va à l’encontre de l’esprit scientifique qui est d’étudier, avec neutralité, tout ce qui est. Je pense aussi qu’on ne peut étudier cette expérience sans se pencher sur l’aspect « conscience » de l’être humain. C’est une expérience de la totalité de notre être. Quant à moi, je reste très humble. Je n’ai ramené que quelques bribes, quelques miettes de cette immense expérience. Elle est infiniment plus grande que tout ce qu’on peut imaginer et bien au-delà de nos concepts humains, aussi, j’ai conscience de mes limitations et je ne prétends aucunement détenir la vérité. Mon but n’est pas d’imposer à quiconque cette expérience ni la compréhension que j’en aie. Il est du domaine de la science éclairée par la spiritualité d’apporter peut- être un jour des réponses. Mon but est simplement de vous l’offrir…


Öpse, graffeur du collectif Le Chat Noir
Yazid Manou, l’expérience Hendrix

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  1. J’ai véritablement foi en vous chère amie .Quand j’étais enfant j’ai perdu ma mère j’avais 18mois !Cette souffrance m’a dévorée. Ma grand-mère était très croyante ,elle nous l’avait inculquée profondément ,je me souviens de ce bien être de me dire après la mort il y a le Bon Dieu qui est notre père et la sainte Vièrge si vous saviez ce Bien être que je ressentais…Je n’étais plus seule……J’ai eu des doutes des années après. Par contre des rêves prémonitoires petite quand je me suis inquiètée de notre sort j’ai rêvée que j’étais dans les bras de la Vierge un rêve indescriptible ….Je ne l’ai jamais oublié…Je viens de lire votre livre 45 secondes d’éternité….J’ai 88 ans cette année votre livre me réconforte énormément ,je ne doute plus Merci !!